Titre : L’été où je suis né
Auteur : Florence Hinckel
Maison d’édition : Gallimard Scripto
A partir de (d’après moi) : 12 ans (bien entendu même si je mets à partir de 12 ans, c’est un livre qu’on peut lire bien plus tard, je choisis l’âge en fonction de l’histoire en elle-même (s’il y a des scènes pas très adaptées à tout le monde), en fonction des thèmes, en fonction de la manière dont c’est écrit, et aussi en fonction du nombre de pages. Donc vous pouvez tout à fait lire ce livre si vous êtes (bien) plus âgé.)
Quatrième de couverture : La vie est belle pour Léo. Entre sa passion pour le rafistolage des motos, son meilleur ami Jason, ses merveilleux parents adoptifs, et les vacances d’été qui s’annoncent… tout va bien ! Jusqu’au jour où il tombe amoureux de Xavière. Et tout ce bel équilibre bascule.
Comment ne pas avoir peur de l’amour quand on ne sait rien de sa vraie mère ? Un roman tout en délicatesse sur la découverte des sentiments et les incertitudes de l’adolescence.
Nombre de pages : 84 pages
Ma note : 4++/5
Ma critique : L’amour. L’amour au sens large. Aimer des ami-e-s, aimer ses parents, aimer son amoureu-se/-x… L’amour fait parfois peur et il a fait peur à Léo. Adolescent né sous X et élevé par de merveilleux parents adoptifs. Mais Léo rencontre Xavière, et là, il est perdu. Il a peur de l’amour, il ne sait pas ce que c’est, ni comment faire. Il ne sait rien de sa mère biologique et a peur.
Un roman tout petit mais si délicat. Rempli de douceur. Un roman sur la découverte de l’amour et des questionnements d’adolescents.
Un beau roman à dévorer l’été (au bord de la plage ?).
Xavière ? 😮
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Uip Xavière! 😛
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Très bon article (:
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Merci!
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